Quatre équipes peuvent encore prétendre remporter le championnat : Featherstone, Halifax, Barrow et Sheffield. Demain (jeudi 09/09) à 20h30 (heure française), le vainqueur de la rencontre entre les Rovers et Halifax – le TO vous propose de suivre cette affiche en direct depuis son Club House – sera directement qualifié pour la grande finale tandis que le perdant devra affronter le vainqueur du match Barrow-Sheffield (vendredi soir) pour accéder à la dernière marche.
Les deux rencontres…
Jeudi 9 septembre à 20h30 (heure française), Featherstone reçoit Halifax pour un match entre les deux premiers du championnat et également les deux meilleures attaques du Championship. Les Rovers font office d’épouvantail cette saison, ils comptent 18 victoires pour 20 matchs joués. Leurs deux défaites (chacune avec deux points d’écart) ont été concédées à domicile contre Toulouse et Sheffield. Lors des confrontations entre Featherstone et Halifax, ce sont donc à chaque fois les Rovers qui se sont imposés, avec notamment un cinglant 44-4 au Big Fellas Stadium le 2 avril dernier. Les locaux partent donc favoris pour cette demi-finale qualificative. Attention tout de même à Halifax qui reste sur 6 victoires consécutives et qui a dans ses rangs des joueurs comme Shad ROYSTON auteur de 27 essais cette saison ou Lee PATERSON.
Le lendemain (10/09) toujours à 20h30, Barrow reçoit Sheffield au Craven Park. Lors de leur premier match de play-offs, les Raiders ont fait une démonstration de XIII. Ils ont infligé un 38-0 à Widnes. De leur côté, les Eagles ont créé la sensation en allant s’imposer sur la pelouse de Leigh. Dans les confrontations cette année, Barrow mène 2-0, ils ont remporté les deux matchs. Au Craven Park, le score final avait été de 50-4, les Eagles doivent encore s’en souvenir… Les Raiders ont donc la faveur des pronostics mais les Eagles ont montré qu’ils sont capables d’aller s’imposer sur toutes les pelouses du Championship (à Batley, à Toulouse, à Featherstone puis à Leigh en l’espace de deux mois). Ce match s’annonce donc plus serré qu’il ne le parait.
M. P.