Avant la réception d’un cador du Championship, Leigh, samedi (25/05) à Blagnac, Mark KHEIRALLAH s’est confié. L’arrière du Toulouse Olympique sait que ce ne sera pas un match facile. Coup d’envoi à 14h.
Mark, comment ça va ?
Je ne pourrais pas aller mieux (rire). Je suis satisfait de ma saison pour le moment. C’était différent de jouer à l’aile lors du dernier match (sourire), mais sinon je suis content. Je suis régulier, c’est ce à quoi j’aspire. Travailler pour être régulier me permet d’aider au mieux l’équipe constamment. La régularité est la clé pour moi.
Comment te sens-tu après ce match contre Toronto ?
Un peu déçu forcément. Nous avions pourtant bien préparé ce match pendant la semaine qui a précédé mais ce n’était pas notre jour, nous avons pêché dans l’état d’esprit, dans l’énergie. Pour rivaliser avec ce genre d’équipe, il faut tout simplement être à son meilleur niveau le jour J, et ce n’était pas notre cas samedi.
Quel effet ce revers a eu sur l’équipe ?
Sur le moment, la frustration dominait bien sûr dans le vestiaire. Nous travaillons dur toute l’année et livrons de bonnes prestations contre des formations très fortes mais sur un match, nous encaissons 40 points. Ce n’est pas nous, ce n’est pas acceptable pour une équipe comme la nôtre, qui a l’ambition de jouer en Super League.
Mais c’est maintenant passé et nous prenons cela positivement. Nous avons l’opportunité d’en tirer plusieurs enseignements qui seront utiles à l’avenir. Cette rencontre sera une grande leçon pour nous, d’autant plus que nous recevons Leigh ce samedi, une équipe avec un profil similaire à celui de Toronto.
Quels sont les points forts de Leigh ?
L’expérience, le physique, la puissance… Leigh a toujours été une équipe difficile à jouer. Comme nous, ils visent les premières places et sont actuellement dans une dynamique positive. Je m’attends à un très gros match contre eux.
Comment les battre ?
En jouant comme nous savons le faire sans commettre les erreurs du week-end dernier. Nous devons construire la pression que nous devons mettre sur l’adversaire, c’est-à-dire en attaque, gagner le plus de terrain possible, à défaut de scorer, et en défense, les laisser dans leur camp et faire en sorte que notre ligne soit impénétrable.
Est-ce que tu es confiant ?
Oh oui, bien plus que ça ! (rire)